Dans sa misère elle aurait pu garder tout ce qu’elle avait glané mais elle partage tout avec sa belle-mère, qui était devenue sa mère et sa meilleure conseillère. Son attachement à sa belle-mère était plus important que celui à sa propre famille. Pourtant celui qui les unissait n’était plus là. Si la relation de Ruth à sa belle-mère était basée sur son défunt mari, désormais elle était basée sur le Dieu d’Israël chez qui elle était venue se réfugier. Le Seigneur dira : « Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique ». Christ ne nous demande pas de rejeter nos familles biologiques mais de prendre conscience de la nouvelle famille dans laquelle nous avons été adopté, celle du Père céleste qui durera éternellement (Ruth 2 :17-23 ; Luc 8:19-21).









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