L’enfance rime avec la sottise, ainsi le début de la culpabilité. La paternité amplifie le poids de la responsabilité, ainsi le besoin d’être épaulé par ceux qui sont passé avant nous. La jeunesse fait penser à la force mais le désespoir vient prendre le dessus devant l’impuissance face au mal. Comment donc les encourager?
La connaissance du Père et du Fils libère et enlève le poids de la culpabilité. Les conseils de Celui était dès le commencement sont rassurants. La force indomptable de l’amour du Christ à la croix a dépouillé la puissance du malin. Il n’y a pas un meilleur endroit que la communion d’avec le Père, le Fils et le Saint-Esprit (1 Jean 2:12-15).









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